Euro investi, heure travaillée
Les États généraux de l’alimentation ont relancé sous un formalisme nouveau les éternels débats autour de la « répartition de la valeur dans les filières agroalimentaires ». Désormais, charge aux interprofessions – dont certaines semblent mal digérer l’exercice – d’animer des débats désormais articulés autour des « indicateurs de coût de production et de marché », dont la déclinaison judiciaire, le prix abusivement bas, est dans tous les esprits.