Surgelés
Miko estime à 1 M EUR ses pertes dues à la grève
La CGT de l’usine de Cogesal-Miko à Saint-Dizier a demandé l’arrêt de la délocalisation de la production du site et le rapatriement « des productions déjà transférées sur d’autres sites à l’étranger à partir d’une usine moderne au potentiel industriel important ». Bloquant l’usine depuis le 9 janvier, les salariés protestent contre le plan de suppression d’environ 250 des 493 emplois de l’usine d’ici à juillet 2008. La direction estime, de son côté, à plus de un millions d’euros ses pertes depuis le début de la grève.