L’épaisseur du trait
Les services de FranceAgriMer doivent encore nous fournir les chiffres précis. Mais selon Grazyna Marcinkowska, chargée d’études au sein de l’unité Prix et consommation, le constat est clair : malgré l’importance prise par ce sujet dans les médias généralistes, la vente directe reste un phénomène marginal. Certes, l’engouement des Français pour ces circuits alternatifs a été réel durant la période de confinement. Pour preuve, les témoignages concordants de start-up (Ruche qui dit oui, Promus, La Charette…) accompagnant les agriculteurs sur ces circuits.