Tous rêveurs
Ce serait un grand tort de vouloir caser les adeptes de la permaculture dans la catégorie des doux rêveurs, les idéalistes. D’abord parce qu’ils sont de plus en plus nombreux à en faire leur métier, autrement dit à se frotter aux dures lois du marché et de l’agronomie. Et comme tout bon professionnel, ceux-là doivent alors arbitrer, composer entre leurs aspirations et la réalité, quitte à se contenter de « mini-fermes », marché foncier oblige.