Une agence internationale d’évaluation des risques
La santé et la biodiversité ont leurs raisons que le commerce ne connaît point. Le récent abandon par la Thaïlande de son projet d’interdiction du glyphosate, du chlorpyrifos et du paraquat est, sur ce point, édifiant.
L’UE est particulièrement concernée par cet antagonisme, elle dont les normes sanitaires et environnementales sont réputées les plus strictes mais qui souhaite ouvrir ses marchés. Pour concilier ces deux objectifs, plusieurs pistes sont sur la table comme la réforme du Codex alimentarius portée par la France.