La hausse des effectifs de bétail corrélée aux maladies infectieuses
« La hausse continue du nombre de têtes de bétail contribue positivement aux émergences de maladies infectieuses et à la hausse du nombre d’espèces sauvages menacées pour la période 2000-2016 », écrit Serge Morand, chercheur au CNRS, dans une étude parue dans la revue Biological Conservation fin juillet. Ces conclusions se basent sur une analyse statistique des données de la FAO, de l’OIE, de l’IUCN et de la base Gedeon, recensant les maladies humaines.