Plan de filière

Face à la multiplication des démarches privées de segmentation (sans antibiotique, sans OGM…), l’interprofession porcine proposera des définitions collectives, afin de structurer une « nouvelle segmentation », située entre le…

« Définir “France, Terre de lait”, avec un logo et un plan de communication ambitieux ainsi que des cahiers des charges de segmentations sur les valeurs amont », telle est l’une des mesures du plan de la filière laitière …

Répondre aux attentes des consommateurs, monter en gamme, créer de la valeur, maintenir et développer le potentiel de production. Les filières bovine, ovine, caprine et équine ont vu large dans leurs plans de filière.

L’interprofession des huiles et protéines végétales, Terres Univia, lance un plan de filière 2018-2022 sous l’intitulé « En route pour le made in France », qui vise la souveraineté alimentaire.

Il s’agit…

L’ambition de la filière cidricole est d’accroître la valeur totale de sa production de 40 % dans les cinq ans qui viennent, a indiqué le 20 décembre l’interprofession Unicid. Cela grâce au développement de plusieurs segments…

Le plan de filière semences, piloté par le Gnis, confère à la semence « un rôle d’accélérateur de la transition agroécologique », selon son président.
C’est le 14 décembre que l’interprofession laitière a remis au ministre son plan de filière. Celui-ci définit un standard de lait de haute qualité, et il prévoit de finaliser sous six mois un cadre interprofessionnel sur les…

La Coordination rurale a envoyé un courrier au coordinateur des États généraux de l’alimentation, Olivier Allain, « pour faire part de son mécontentement au sujet du plan de la filière porcine préparé par Inaporc », rapporte-t…

Le plan de filière caprine fixe des objectifs précis pour la montée en gamme des productions (AOP, bio), mais aussi sur la stratégie d’export et la montée en puissance du bien-être animal.
À quelques jours de la date de rendu des plans de filière, une bonne partie des interprofessions a déjà dévoilé ses engagements : atteindre un prix de revient de 150 €/t en céréales ou 25 % d’élevages alternatifs en lapins, faire reculer…