Euro-bashing
« Le succès est national, l’échec est européen » : Jean-Claude Juncker en a assez de cette « rengaine », qui, aujourd’hui, tourne plus que jamais après la décision d’un État membre de l’Union de tirer sa révérence. Néanmoins, le président de la Commission européenne – qui se défend d’être lui-même « un sourd-muet bien payé » loin des réalités – reconnaît la nécessité absolue d’une relance économique et politique de l’Union, thème d’un sommet informel des Vingt-sept à Bratislava.