Urgence et latence
Malgré un plan d’urgence de 500 millions d'euros lancé à l’automne, les éleveurs européens continuent de subir la crise marquée par la chute de la demande chinoise en produits laitiers et l’embargo russe qui affecte particulièrement le secteur porcin. La France voudrait réunir autour d’elle le clan des États membres régulateurs pour amener la Commission à mettre en place de nouveaux outils de gestion du marché. Mais ces pays ne constituent pas une majorité qualifiée au sein du Conseil.