Régulation
Pas de « réseau de renseignement européen sur les marchés agricoles »
La Haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité ne juge pas utile de demander à ses services dans les pays tiers d'informer sur l'évolution des marchés agricoles. Selon elle, les instruments existants, notamment l'AMIS, permettent à la Commission de Bruxelles de faire ce travail.
LA création d'un « réseau de renseignement européen sur les marchés agricoles » dans le cadre du Service européen pour l'action extérieure (SEAE) : telle est la proposition que les organisations et coopératives agricoles de l'UE (Copa-Cogeca) avaient formulée auprès de Catherine Ashton, Haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission de Bruxelles.