Edito
Arrière-goût
Le tribunal de grande instance de Paris ne trouve rien à redire à la publicité d’Unilever et de la MAAF pour Proactiv. Est-ce à cause d’un vide juridique comme le déplore l’UFC ? Les industriels savent vendre des produits sains, c’est un minimum obligé et depuis longtemps. Faire des aliments pratiques, des produits-plaisir, c’est un plus que leur impose l’univers concurrentiel s’ils veulent capter des clients et les fidéliser. Mais désormais, face à un consommateur repu, ils proposent des produits-santé – des alicaments – telle est la nouvelle frontière de l’alimentaire.