Edito
Gaulois
Diviser pour régner, cela réussit toujours. En majorant les problématiques de santé, le PNNS 1 et la plupart des initiatives publiques (y compris de Bruxelles avec la notion de «profils nutritionnels») ont tellement pointé « les bons » et « les mauvais » produits que l’on a pu craindre des guerres fratricides à l’intérieur de l’agroalimentaire. Celles-ci, pourtant, n’étaient pas encore apparues et, paradoxe, c’est quand le PNNS 2 semble mettre de l’eau dans son vin et remiser les anathèmes les plus grossiers qu’une belle bataille franco-française se dessine.