Brasserie/Résultats
InBev tiré vers le haut par l’Amérique
Interbrew ne boit pas la tasse grâce à son rapprochement avec le brésilen AmBev. Tel est le premier constat, à la lecture des résultats 2004 présentés par InBev, le premier brasseur mondial né de la fusion entre les deux brasseurs.
Ce n’est pas en Europe qu’il faut chercher la raison des bons résultats affichés par InBev. Mais en Amérique, au Brésil, aux Etats-Unis, et en Russie. Grâce à ces zones le directeur général d’InBev, John Brock, a pu annoncer le 2 mars une croissance de ses volumes de 3,3%, « ce qui veut dire que nous avons fait deux fois mieux que l’industrie brassicole », s’est-il félicité.