Thé
La Compagnie coloniale cultive le made in France
Vincent Balaÿ travaille depuis 2010 à la renaissance de la maison de thé fondée en 1848. Nouvelles recettes, diversification dans les tisanes, développement sur le marché CHR et valorisation du made in France font partie des axes privilégiés par la Compagnie coloniale.
Après être passée entre les mains d’Unilever, avoir déposé le bilan et changé de propriétaire à plusieurs reprises, la Compagnie coloniale a retrouvé le chemin de la croissance et de la créativité depuis 2010 sous l’impulsion de Vincent Balaÿ. Le chiffre d’affaires, de 2,2 millions d’euros en 2016 passera à 3 millions d’euros en 2017. « Nous prévoyons une progression régulière à 3,5 millions dès 2018 puis 4 millions en 2019 » explique le propriétaire actuel, pour qui « la rentabilité est au rendez-vous depuis 2012 ».