Après le Sial de Shanghaï
Les PME françaises abordent le marché chinois avec prudence
L’agroalimentaire français ne se rue pas sur la Chine, du moins pas autant que hier dans les pays de l’Est après la chute du mur de Berlin. Si les groupes multinationaux sont bien présents et depuis longtemps parfois, les petites et moyennes entreprises tardent à s’implanter dans l’empire du milieu. Pourtant aux dires de ceux qui ont tenté le pari, les affaires sont nettement moins compliquées que dans les pays de l’ex-bloc de l’Est. Bien conseillée, une implantation chinoise ne peut prendre que six mois environ en terme de formalités.