Les producteurs dans une situation paradoxale
« Nous souffrons d’un écart trop important avec les producteurs italiens ». Pour François Callet, deux problèmes se posent : « L’écart des cours français avec ceux pratiqués en Italie est encore trop important. De plus, à 5,2 tonnes l’hectare, nos rendements sont trop faibles. » En cause, une limitation trop importante du nombre de produits phytosanitaires par les autorités françaises. « Une distorsion de concurrence » pour François Callet, au regard des pratiques italiennes ou espagnoles.