Relations commerciales
L’Ilec déplore des négociations commerciales pires qu’en 2017
Les grandes marques alimentaires ont encore plus souffert au cours des dernières négociations commerciales que l’année précédente. À la clé : des conséquences lourdes pour l’investissement industriel, l’emploi et la publicité. L’Ilec demande que l’Etat fasse respecter la loi dans le cadre des relations avec les industriels.
« Après les États généraux de l’alimentation, je pensais sincèrement qu’il y aurait une amélioration, mais malheureusement il n’en a rien été », a déploré Richard Panquiault, directeur général de l’Institut de liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), en parlant des dernières négociations commerciales terminées le 1er mars. « La situation est même pire qu’en 2017, j’en suis navré et je suis même le premier surpris », a-t-il insisté à l’occasion d’une rencontre avec la presse spécialisée le 6 avril.