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rapport
Il est arrivé que le Conseil économique aide à faire émerger des idées nouvelles et utiles, hélas pas toujours suivies d’effet. Au moins permet-il parfois de forger un consensus qui sera bénéfique pour aboutir dans des réformes difficiles. Ce ne sera pas le cas, peut-on craindre, après l’adoption, cette semaine, du rapport de Christiane Lambert proposé par la section agriculture et alimentation : ce N ème travail sur « la formation des prix alimentaires, du producteur au consommateur », juste après le rapport Besson ou les études d’UFC Que Choisir, n’apporte rien de plus.