Restructuration/Volaille
Nouveau report pour le plan de continuation de Doux
Alors que les dirigeants du groupe volailler Doux rencontraient le mercredi 25 septembre en fin de journée, Guillaume Garrot, ministre délégué à l’agroalimentaire, ceux-ci n’avaient pas pu présenter au tribunal de commerce de Quimper leur plan définitif de continuation. L’entrée au capital du groupe saoudien Almunajem a cependant été confirmée. Les juges consulaires leur ont accordé un délai supplémentaire jusqu’au 30 septembre. La direction de Doux estime cependant que ce plan est prêt à 99,9% et pourrait être soumis dans les prochains jours, voire heures. Restent en suspens la position des créanciers et l’engagement de la BPI. Les représentants des salariés se veulent très prudents.
Les juges du tribunal de Quimper ont accordé, le 24 septembre, un délai supplémentaire, allant au 30 septembre, au groupe Doux pour présenter son plan de continuation définitif. Cette date pourra être respectée, selon les dirigeants, les grandes lignes étant quasiment arrêtées. Comme cela a été présenté aux salariés, le 19 septembre lors d’un CCE, celui-ci repose sur l’entrée au capital à hauteur de 25% du groupe Almunajem, premier client et partenaire du groupe.