Tribune libre
Pourquoi l’agroalimentaire prend du retard sur les marchés les plus dynamiques(1)
Fort d’une expérience de plus de dix ans dans des entreprises comme les Grands moulins de Paris ou Sodexho, en France et à l’international, François Guillon, ancien HEC, enseignant-chercheur de l’Institut supérieur d’agriculture de Beauvais (Isab) et chargé d’enseignement au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), préside l’Institut pour la recherche en marketing de l’alimentation santé (Iremas) et il vient de créer un cabinet conseil avec Marc Bouisset, FoodBoosters Partenaires. Il réagit ici à l’apathie un peu omniprésente dans les sphères dirigeantes à propos de la possibilité de mener une politique agroalimentaire gagnante. Les autorités françaises et même les élites de la recherche ne font pas ce qu’il faut pour assurer notre développement dans les domaines qui s’avèrent les plus stratégiques aujourd’hui.
Par François Guillon