Télescopage
Le raid de Lactalis sur Parmalat conserve les formes d’une OPA hostile même si, à l’occasion du sommet franco-italien, Silvio Berlusconi n’a plus voulu le qualifier ainsi. Capitulation ? ou ralliement plutôt à la raison « sonnante et trébuchante » des 5 milliards d’euros que le Français va dépenser pour s’offrir un groupe pesant 4,3 Mds de chiffre d’affaires et qui totalise moins d’un milliard sur le marché italien des produits laitiers.