Bien-être animal : le surcoût doit être « porté par le consommateur », estime Julien Denormandie
« Ça n’est pas au compte de résultat de l’éleveur de payer cette transition [vers un meilleur bien-être animal], c’est à l’ensemble de la société qui le souhaite de le faire », a estimé le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie lors de son discours au Space le 14 septembre. Le locataire de la Rue de Varenne a pris l’exemple de deux évolutions qui surviendront début 2022 : la fin de l’élimination des poussins mâles et l’arrêt de la castration à vif des porcelets.