Michel-Edouard Leclerc veut « castagner les multinationales »
S'avouant « étonné » que des industriels annoncent des tarifs en hausse avant le début des négociations commerciales annuelles (qui démarrent à l'automne), Michel-Edouard Leclerc a promis, le 27 août sur BFMTV, de « castagner les multinationales ». Dénonçant une « spéculation sur un manque de disponibilité du blé et du maïs », il affirme avoir donné la consigne de « ne pas laisser passer les hausses spéculatives ». Le patron de l’enseigne E. Leclerc évoque des demandes de hausses de 10% sur le sucre raffiné, 23% sur les pâtes et « entre 9 et 15% » pour la charcuterie.