Page blanche
Une page est tournée. Une autre reste à écrire. La parenthèse électorale française n’est certes pas encore totalement refermée, mais les législatives seront vite passées... Une chose est acquise, en tout cas, l’immobilisme n’est plus de mise à la tête de l’Etat. L’attente est trop forte et nos institutions donnent des coudées assez franches au Président élu. Même s’il sait le peu de temps que dure en général l’état de grâce, la voie est libre pour faire du neuf.