Entre le marteau et l’enclume
La peste porcine ne décime pas seulement les cheptels chinois, elle lamine aussi les marges des industriels de la charcuterie. En témoignent les comptes semestriels de Fleury Michon, qui font apparaître une perte opérationnelle de 5,7 millions d’euros et des marges négatives. Et le groupe ne cache pas que l’ensemble de l’exercice 2019 devrait être touché par les conséquences de cette épidémie.