La France pourrait proposer l’outil à Bruxelles
Avant de lancer publiquement le curseur nutritionnel, ses promoteurs l’ont soumis à la DGCCRF qui n’a pas soulevé d’objection dans la mesure où sa visualisation sur l’emballage ne se substitue pas aux allégations obligatoires dans l’étiquetage nutritionnel en vigueur. L’administration a en outre transmis le dossier au PNNS et saisi l’AFSSA qui a souhaité la mise en place d’un comité scientifique pour le suivi permanent de la méthode auquel participent les professeurs Ambroise Martin et André Vacheron, l’Inserm, l’Inra et un expert statisticien.