La loi Egalim n’a pas permis d’apaiser le dialogue entre l’IAA et les distributeurs
Après la mise en place de la loi Egalim, les dernières négociations commerciales entre fournisseurs et distributeurs ne se sont pas déroulées aussi bien que le souhaitait l’industrie agroalimentaire. Les demandes de baisses de prix ont perduré, et cette destruction de valeur est d’autant plus dommageable qu’elle ne profite pas vraiment aux consommateurs. En revanche, elle pèse sur les marges des entreprises et donc aussi sur l’innovation et les embauches. Attirer de nouveaux talents dans un tel contexte est un challenge important à relever pour l’Ania, qui tente une expérimentation inédite dans les Hauts-de-France.
Après la mise en place de la loi Egalim, les dernières négociations commerciales entre fournisseurs et distributeurs ne se sont pas déroulées aussi bien que le souhaitait l’industrie agroalimentaire. Les demandes de baisses de prix ont perduré, et cette destruction de valeur est d’autant plus dommageable qu’elle ne profite pas vraiment aux consommateurs. En revanche, elle pèse sur les marges des entreprises et donc aussi sur l’innovation et les embauches.