Restructuration sucrière
Les salariés veulent bénéficier des fonds versés aux entreprises
La FGA (Fédération générale agroalimentaire de la CFDT) regrette « le manque de réalisme de Bruxelles qui conduit à des fermetures de sucreries » lorsque, en lançant la réforme du règlement sucre, la Commission n’a pas intégré le fait que les Etats membres où les rendements étaient faibles n’étaient pas prêts à abandonner leur production ». Du coup, c’est l’Europe qui va payer les restructurations des entreprises françaises à travers son fonds de restructuration de 6,5 milliards d’euros.