Denis Lambert, président de LDC
« A mon sens, la destruction de valeur vient des crises agricoles, des surproductions »

À l’occasion de la présentation des comptes annuels de l’entreprise familiale LDC qu’il dirige depuis près de 20 ans, Denis Lambert est revenu sur certains points d’actualité tels que la loi Egalim et la fiscalité en France. Il a également évoqué sa succession, qui même si elle n’est pas encore d’actualité, est un sujet auquel le groupe, et notamment les actionnaires familiaux, réfléchit.
Votre marge opérationnelle a baissé sur l’exercice 2018/2019 à 4,6 %, contre 4,8 % un an plus tôt. Comment expliquez-vous cet effritement ?