Quel souffle ?
Une fermeture de raffinerie de sucre à Nantes ou d’unités de production Amora-Maille à Dijon, quel rapport ? Et quelle relation avec les choix (ou non-choix) qui ont présidé au vote du bilan de santé de la PAC la semaine dernière ou de la LME au printemps ? Aucune, apparemment. Et pourtant il ne va pas s’écouler de longs mois avant qu’on ne se lamente parce que des éleveurs abandonnent leur production de lait ou de viande plus assez rémunératrice.