Salon où l’on cause
La dégringolade boursière n’empêche pas les cours du cacao, du café ou du sucre d’afficher une insolente résistance. La spéculation doit bien trouver de nouveaux points de chute même si, sur les prix agricoles à la production en France, la détente semble bien là, à une exception, celle des produits laitiers qui l’ont connue avant les autres mais pour bien peu de temps. La fixation du prix du lait pour le dernier trimestre (qui vient de commencer !) ressemble à une mission impossible pour la filière alors que les industriels se voient refuser toute hausse par certaines enseignes.