Silence
Les professions agroalimentaires auraient intérêt à parler le même langage – et c’est loin d’être le cas par exemple au sein de la filière lait - si elles veulent être un tant soit peu entendues et ainsi faire mieux face à « la crise ». La crise alimentaire révélée par des émeutes de la faim au printemps dernier et la crise financière généralisée aujourd’hui appellent un traitement moins conventionnel que ce qu’on entend ici ou là.