« Une hausse moindre mais plus difficile à répercuter qu’en 2007/2008 »
« La part des matières premières dans le prix de revient de nos produits varie de 25 % quand il n’y a ni chocolats ni fruits secs, à 40 %, pour le bio par exemple, explique Gérard Lebaudy, président de la Biscuiterie de l’Abbaye. Nous faisons des gains de productivité autant que possible mais quand les prix augmentent trop, ça ne suffit pas, il faut répercuter la hausse. C’est difficile et cela se fait toujours avec retard. En 2007/2008, tant le prix des céréales que celui des produits laitiers a augmenté.