Abatteurs, industriels, distribution, pointés du doigt
L’aval de la filière est largement pointé du doigt dans cette contractualisation proposée par Nicolas Sarkozy. En amont des fabricants d’aliments, les contrats existent déjà. Par contre, aucun « lien » n’existe entre les éleveurs, les abatteurs, les industriels et la grande distribution. S’il n’est pas possible pour l’éleveur de sécuriser la vente de sa production et de faire passer ses coûts de production, l’impact des précédents contrats restera lettre morte.