En France, le métier d’éleveur a une image dégradée mais attire toujours autant les jeunes
« 4 200 actifs choisissent le secteur de l’élevage », annonçait positivement Christophe Perrot, chargé de mission économie et territoire à l’Institut de l’élevage (Idele), lors du colloque « Attractivité des métiers de l’élevage », organisé par l’Idele, le 17 mai. Et cela malgré « la lourdeur des investissements, le travail d’astreinte, la volatilité des prix, le poids de l’administration, l’accès au foncier, etc. », comme le rappelait le même jour Boris Duflot, économiste à l’Institut français du porc (Ifip).