Agrafil du 04 janvier 2022

Liste Live

Deux jours après que la France a pris la présidence de l'Union européenne (PFUE) pour six mois, la FNSEA a proposé  dans un communiqué, le 3 janvier, «quatre axes stratégiques» aux pouvoirs publics. Le syndicat majoritaire plaide en premier lieu pour «la généralisation et l'obligation de l'étiquetage de l'origine des denrées alimentaires, brutes ou transformées». Pour l'heure, ce dossier ne figure pas parmi les grandes priorités de la PFUE, une proposition de Bruxelles étant attendue fin 2022...


Dans une réponse parue le 30 décembre dans le JO du Sénat, le ministère de l’Économie et des finances détaille plusieurs mesures pour «renforcer la politique de contrôle des résidus de pesticides sur les produits importés, en adoptant une approche plus volontariste et prospective». Lors de l’interdiction de nouvelles molécules sur le sol européen, Bercy envisagerait notamment «l’établissement systématique d’une étude d’impact», et ce «afin d’éviter les contournements de l’interdiction». Plus...


Le Syndicat professionnel du chanvre (SPC) veut attaquer devant le Conseil d’État l’arrêté gouvernemental publié le 31 décembre qui maintient l’interdiction de la vente des fleurs et des feuilles sous leur forme brute, annonce-t-il dans un communiqué le 3 janvier. Cet arrêté autorise la récolte de la fleur et de la feuille de chanvre seulement pour les extraits industriels de cannabidiol (CBD, molécule non psychotrope du chanvre). Le SPC «attaquera cette décision devant les tribunaux...


Les services de l’État vont procéder, le 4 janvier, à l’abattage du troupeau de bovins parmi lequel un cas de brucellose avait été confirmé début novembre dans le massif du Bargy (Haute-Savoie), informe la Confédération paysanne dans un communiqué le 3 janvier. Conformément à la réglementation européenne qui classe la brucellose comme une maladie «à éradication obligatoire», les 220 bovins doivent être abattus, même s’ils ont été testés négatifs à la maladie. Le syndicat condamne «l’application...


Voilà 32 jours ouvrés (depuis le 22 novembre) que l’endive est en crise conjoncturelle, selon le Réseau des nouvelles des marchés (RNM, FranceAgriMer). Après un record au plus bas fin novembre, le prix de première mise en marché de l’endive stagne 29% au-dessous de la référence hebdomadaire depuis le 22 décembre. Interrogé le 3 janvier, le directeur de l’association des producteurs d'endives de France (APEF) Frédéric le Vigoureux a reconnu que la situation est «difficile». «Le dispositif de...