Agrafil du 24 juin 2022

Liste Live

Dans un rapport publié le 20 juin par le Centre d'études et de prospective (CEP) du ministère de l'Agriculture, deux chercheurs de l'Inrae et un fonctionnaire du ministère font une revue des politiques publiques favorisant l'emploi agricole. Sur la base de deux modélisations réalisées en Europe et en France, ils estiment que l'instauration d'une «Pac à l'actif» aurait «des effets finalement modestes». En France, une répartition de l’ensemble des aides du premier pilier en fonction des actifs non...


Représentant un chiffre d’affaires de 274 M€ (+16%) en 2021, le biocontrôle atteint 13% du marché de la protection des plantes, a indiqué le 23 juin I’IBMA (entreprises du biocontrôle). «La progression s’accélère» pour les solutions de biocontrôle, a souligné sa présidente Céline Barthet. En 2021, leur chiffre d’affaires a augmenté de 16%, après +9% l'année précédente, d’après le baromètre de l’IBMA. Le secteur pèse ainsi 13% du marché de la protection des plantes, rendant «atteignable» l...


Dans un communiqué publié le 23 juin, la Fnab (producteurs bio) s’inquiète des négociations actuelles du montant supplémentaires qui sera accordé aux agriculteurs biologiques par le futur PSN. Alors que le ministère espère atterrir dans une fourchette de 10 à 60 €/ha, soit un montant total de 90 à 140 €/ha, la Fnab estime que 145 €/ha au total serait un niveau à la fois «juste et réaliste». Rappelant les multiples aménités environnementales du cahier des charges biologique, le syndicat s’appuie...


La réunion de la Commission nationale de la certification environnementale (CNCE) prévue pour le 28 juin, et qui devait permettre de valider le cadre révisé de la Haute valeur environnementale (HVE), a été repoussée à une date indéterminée, apprend Agra Presse de plusieurs sources. Ce décalage serait dû à un retard dans la rédaction des textes finalisés par les services ministériels. Une nouvelle réunion devrait cependant se tenir «rapidement» comme l’aurait assuré le ministère aux participants.


Les intempéries survenues entre le 2 et le 5 juin devraient coûter 940 millions d'euros, dont 70 millions pour les récoltes, selon une première estimation publiée le 22 juin par la fédération professionnelle des assureurs. Dans un premier bilan établi le 9 juin, Groupama avait estimé que l'épisode lui couterait «au moins 16,6 millions d’euros brut» pour l'agriculture. D'après le premier assureur de l'agriculture, les principaux dégâts sur récoltes concernaient les cultures d’hiver (colza, blé...