Informer n’est pas suffisant, il faut s’adresser à l’imaginaire du consommateur
«En agriculture, il faut sortir d’une communication de déficit d’information », affirme Richard-Emmanuel Eastes, professeur agrégé à l’Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (EspciParisTech).
Lors de la journée du Club Adalia, « Agriculture durable, enjeu de société », le 31 mars, il s’est attaqué à la communication en agriculture et à la distanciation entre le producteur et le consommateur. « Le rapport du consommateur à l’agriculture est un rapport de valeur et d’imaginaire.