La révision de la LME visera le prix, les volumes, mais aussi les conditions de promotion
C’est une révision substantielle de la LME à laquelle s’attellera la future loi sur la consommation si l’on en croit les propos de Guillaume Garot, ministre délégué à l’industrie agroalimentaire tenus le 5 avril, à Angoulême. La révision de la LME portera sur deux axes, a-t-il indiqué. D'une part « la volatilité des prix des matières premières, de telle sorte qu'on puisse induire un mécanisme de révision lorsqu'il y a ces espèces de yo-yo qui sont insupportables pour les producteurs.