La viticulture en danger de gel
Attention, a prévenu le président de Groupama Jean-Luc Baucherel. La viticulture, depuis le début de l’année, ne bénéficie plus du régime du FNGCA ou Fonds national de garantie contre les calamités agricoles. Ce qui signifie qu’en cas de dégât important, par exemple occasionné par un gel de printemps, l’indemnisation publique n’intervient plus. Or, fait remarquer le président de Groupama, le pourcentage de surface garantie contre les dégâts climatiques n’est que de 15% à 20%.