Réflexion
L’agriculture doit pouvoir recourir au progrès technique
Pour les participants au débat sur les politiques agricoles organisé par Passion céréales, le 17 février à Paris, cela ne fait guère de doute : le progrès technique doit être l’un des moteurs de l’agriculture de demain. Afin qu’elle puisse faire face aux défis environnementaux et économiques des années à venir.
«On ne peut pas résister au progrès technique ni au changement ». Pour Thierry de Montbrial, directeur général de l’Ifri, qui s’exprimait le 16 février à Paris dans le cadre d’un colloque sur les politiques agricoles organisé par Passion céréales, c’est pourtant ce que l’agriculture des Vingt-Sept semble faire. Alors même que « dans l’agriculture, il y a toujours eu le facteur progrès technique », a précisé l’intellectuel. L’un des responsables, selon lui : le principe de précaution à l’européenne.