Les coulisses des ateliers des États généraux de l’alimentation
Certains ateliers des États généraux de l’alimentation sont déjà à mi-parcours. Les professionnels rapportent que les positions y sont parfois bien campées. Pour autant, certains constats sont partagés, et le dialogue s’instaure progressivement, et même au-delà des réunions d’ateliers. Le ministère demande maintenant des propositions pour faire avancer les dossiers. Pour gagner du temps et ne pas rester que sur les constats, déjà bien connus, chaque participant est invité à envoyer ses propositions en amont des réunions d’ateliers. Les premières propositions de plusieurs organisations ont animé le Space, le salon de l’élevage qui s’est tenu du 12 au 15 septembre, et ont fait débat à l'assemblée nationale où l'ensemble de la filière était auditée par les députés.
Les États généraux de l’alimentation battent leur plein. Les réunions d’ateliers s’enchaînent. Certains sont déjà à mi-parcours. Après la première réunion, nombreux sont ceux qui en étaient ressortis perplexes, avec le sentiment de ne pas pouvoir beaucoup s’exprimer. Pascal Vinet, directeur général de Coop de France, dont l’organisation a des représentants dans tous les ateliers, reconnaît que le démarrage des ateliers a été chaotique. « Il y a eu des difficultés au départ, mais maintenant tout le monde sort du bois.