Les grossistes préfèrent les codes de bonnes pratiques
Les grossistes en fruits et légumes quant à eux se méfient des à-coups que peuvent entraîner des décisions techniques prises par les politiques. Bernard Piton, leur président (UNCGFL), a fait observer que Nicolas Sarkozy « nous réunit parce que le dialogue peine à s’établir dans les instances interprofessionnelles ». Rien ne vaut un guide des bonnes pratiques élaboré entre professionnels, sur des sujets comme le prix après vente ou les rabais, remises et ristournes.