Logique
Et si les événements majeurs, tels que la crise agricole de 2009, la volatilité des cours des matières premières et l’épisode très préoccupant de la sécheresse finissaient par faire bouger les lignes du syndicalisme agricole ?
Alors que la trésorerie des éleveurs est à sec, la FNSEA se refuse à « quémander » des sous, même pas de plan de soutiens sur le mode de celui annoncé, en grandes pompes, par Nicolas Sarkozy car source d’endettement pour les paysans. Aujourd’hui, seules les banques prêtent de l’argent. L’état n’en donne plus.