Edito
Marché
Ce n’est plus une niche, c’est un marché. Le bio a trouvé les faveurs d’une part suffisante de la population pour qu’il soit considéré très sérieusement par les distributeurs, les pouvoirs publics et les professionnels de l’agriculture. Côté distributeurs, on peut prendre au sérieux leur engagement de développer de 15 % la part de marché du bio. Car ce ne sera pas trop dur, avec une consommation générale qui stagne et une demande de bio qui augmente à deux chiffres !