Edito
Progrès
La capacité de progrès techniques dans un domaine comme l’agriculture est tout bonnement impressionnante. Le début de cette décennie est l’occasion de l’observer et d’en tirer des enseignements comme le fait le dossier réalisé par Agra dans ce numéro. Cette capacité permet de relativiser les problèmes du moment, si intenses soient-ils et l’impact des réformes de demain, si profondes soient-elles. Mais elle souligne deux nécessités trop souvent méconnues.
D’une part l’obligation impérative de se former.