Recherche publique
Une étude indépendante vient de montrer, chiffres à l’appui, que dans les domaines agricoles et alimentaires, la part de la recherche publique se réduit au profit de la recherche privée. C’est un phénomène de long terme, apparemment inéluctable. Rien d’étonnant alors à ce que les citoyens, plus ou moins bien informés, rejettent des avancées pourtant prometteuses comme les biotechnologies et leurs applications aux plantes. Pardi, voir appliquées de telles technologies essentiellement dans le but de vendre plus de chimie, ce n’est pas très excitant.