Rectification
Avant la pause estivale, un entretien avec le ministre de l’Agriculture m’avait conduit, dans un édito du 20 juillet, à m’alerter d’un danger « incompréhensible » pour les consommateurs européens. Cette crainte provenait de la présence, dans la réglementation européenne, d’un principe de « tolérance à l’exportation ». Ce principe qui permet bel et bien aux pays tiers qui le demandent d’obtenir auprès de l’UE un relèvement des limites maximales de résidus (LMR).