Remise en ordre
Après cette crise stupide de la viande de cheval, une certaine unanimité semble se dégager pour adopter l’identification des viandes contenues dans les plats cuisinés. C’est bien. C’est d’ailleurs souvent en période de crise que les dispositifs les plus avancés sont adoptés. Mais deux autres conditions sont requises.
D’une part, la profession doit faire son ménage. Rien n’empêche qu’il y ait des brebis galeuses, des personnes malhonnêtes avides de gagner quelques euros supplémentaires dans l’illégalité.