Semences : l’interprofession veut rallier le citoyen à la cause des NBT

Le Gnis (interprofession des semences) s’est dit prêt le 10 janvier à « un vrai débat » sur les nouvelles techniques de sélection, estimant pouvoir convaincre de leur intérêt. Son plan de filière ambitionne de mieux répondre aux attentes des citoyens.
« L’accompagnement de la transition agroécologique serait plus compliqué, plus lent, moins vigoureux si les obtenteurs ne pouvaient pas utiliser la mutagénèse et les NBT », a déclaré le président François Desprez, en présentant la mise en œuvre du plan de transformation de la filière. Avec ces techniques, « les obstacles ne sont pas les mêmes qu’avec les OGM », selon lui.